Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

 

 Nikita ♥ Demain dès l'aube, [...] je partirai.

Aller en bas 
AuteurMessage
Nikita V. Allen

Nikita V. Allen


Féminin Nombre de messages : 166
Age : 29
— âge du personnage : vingt - trois ans
— crédits : spectre
— jukebox : m.craft - dragonfly
Date d'inscription : 26/07/2009

« Situation.
    adress notebook.
:
    pense-bête du jour.
:

Nikita ♥ Demain dès l'aube, [...] je partirai. Empty
MessageSujet: Nikita ♥ Demain dès l'aube, [...] je partirai.   Nikita ♥ Demain dès l'aube, [...] je partirai. Icon_minitimeMer 29 Juil - 13:32

    — “ Nikita V. Allen
    .
        Nikita ♥ Demain dès l'aube, [...] je partirai. 105vcz9
        spe©tre
        ID CARD.
        --------------------------------------------------------------
          NOM, PRÉNOMS: Allen, Nikita Violet.
          ÂGE, DATE DE NAISSANCE:
          ARRIVÉE À L'ÎLE D'OXYMORE:
          SITUATION: mariée à un mort.
          AVATAR: Keira Knightley ♥️

    .

    keyboard is your friend.
      PRÉNOM - PSEUDO; Manon- Mnon
      ÂGE; quinze ans dans un mois :)
      OÙ AS-TU DÉNICHÉ L'ADRESSE D'OXY?; je sais plus, mais Herm' m'a actuellement proposée admin :D
      TON AVIS SUR LE FORUM; j'ai toujours adoré le contexte, mais le graphisme , belissimo, si ! ♥️
      UN DERNIER MOT? À MOINS QUE TU AIES LA FLEMME.; flemme >.<


Dernière édition par Nikita V. Allen le Mer 29 Juil - 15:23, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Nikita V. Allen

Nikita V. Allen


Féminin Nombre de messages : 166
Age : 29
— âge du personnage : vingt - trois ans
— crédits : spectre
— jukebox : m.craft - dragonfly
Date d'inscription : 26/07/2009

« Situation.
    adress notebook.
:
    pense-bête du jour.
:

Nikita ♥ Demain dès l'aube, [...] je partirai. Empty
MessageSujet: Re: Nikita ♥ Demain dès l'aube, [...] je partirai.   Nikita ♥ Demain dès l'aube, [...] je partirai. Icon_minitimeMer 29 Juil - 13:54

everybody's a legend, especially you.

RUMEURS - Oh mon dieu, oh mon dieu, c’est elle !
- Ah oui, la femme du riche Allen ? Oui oui, c’est bien elle ! Oh là là, mais qu’est-ce qu’il a pu être naïf pour épouser une sale garce - pour rester polie - qui ne pense qu’aux ronds, cette Nikijesaisplusquoi !
- Nikita, qu’elle s’appelle, je crois. D’origine russe. J’ai toujours dit que les russes étaient des cons. L’Amérique et la Russie se sont toujours battus. A quoi bon, d’ailleurs, car nous savons tous qui sont les meilleurs ! Et d’ailleurs, lors de la Guerre Froide, en 19…
- Pour en revenir au sujet, Adam Allen possède la fortune de vingt-trois millions de dollars. En même temps, si on est PDG de la Allen Bank, on ne peut qu’être millionnaire. Nikita l’a épousé seulement pour son argent, et Allen le nie, répétant que « leur amour est réciproque ». Bla bla bla. Nous, au moins, on voit la réalité en face. On connaît la vérité. Bah la Nikita, elle est contente maintenant, elle ne porte plus que des vêtements Prada, Chanel, Miu Miu, et j’en passe. Regardez-la, je suis sûre qu’elle est sapée pour deux mille dollars au moins. Et puis, cet air suffisant, hautain, je ne la supporte pas. Rien que la voir me fout des hauts-le-cœur …
- Il paraîtrait même qu’elle ait un amant, même deux, je crois. Heureusement que tout ça fait de la mauvaise pub pour son magazine. Plus personne ne l’achète.
- Ahhh, « Ladies » ! J’y suis ab…
- Comment ?
- Pardon, rien, je … je me trompais de magazine.
- … Moui … On devrait lui faire signer ce contrat qui dit, qu’en cas de divorce, l’argent du propriétaire lui reste dans sa totalité. Car, oui, C’est-ce qu’elle a en tête ! Divorcer pour récupérer toute sa fortune ! Et vous ne savez pas quoi ? Elle a auss…

J’essaie de me boucher les oreilles, de partir la tête haute, sans rien entendre de ces commérages incessants. Les rumeurs en font trop. On ne parle plus que de moi, dans la ville de New-York. Mais ce n’est pas ça qui me détruira. Je resterai moi-même , je n’écouterai plus, je ne croirai plus. Je continuerai à nier, encore et toujours. Voire je ne répondrai plus. Du tout. Je veux seulement qu’on me laisse tranquille. Mais le regard des gens lorsque je me promène dans la rue est trop lourd, les chuchotements criards, les index pointés sur moi humiliants. Tout ce que l’on raconte ici est faux. J’aime Adam. Pour ce qu’il est, non pour son argent. Pour ses sourires déstabilisants, ses airs confiants, sa tendresse fondante. Pour le regard qu’il porte sur moi, le respect qu’il m’accorde, l’amour qu’il me donne. C’est l’homme de ma vie. Je me fiche bien de son argent ! Il pourrait être SDF, rien n’aurait changé mon avis sur lui. Je ne veux pas de son argent, je veux son amour. Jamais, au grand jamais, je ne pourrai le tromper, contrairement à ce qu’affirment les rumeurs. Mais ces rumeurs, je le crie haut et fort : je les emmerde. La seule chose qui m’importe, à présent, c’est mon mari, rien d’autre que lui.



MAUVAISES NOUVELLES. Je suis seule à la maison. Je ne sais pas quoi faire, mais j’opte pour m’allonger sur le transat noir qui sit près de l’immensité bleue de la piscine. La maison de huit chambres avec salle de bain intégrée semble soudain très vide, une fois mon mari au boulot. Adam est en ce moment pris quinze heures par jour, suite à un faux pas de l’entreprise, qui est sur le point de perdre un gros fournisseur. Je m’ennuie sans lui. Seize heures. Il m’avait pourtant promis qu’il serait là à midi pour manger avec moi au restaurant, emmenant par la même occasion avec mon beau-père. J’avais espéré jusqu’à ce que je comprenne qu’il avait encore dû être retenu, et que je devais lâcher l’affaire. Il n’a même pas pris la peine de m’avertir. Je l’ai appelé une bonne dizaine de fois, laissant à chaque appel un message : « chéri, qu’est-ce que tu fous ? Tu m’avais promis d’être là … Rappelle moi.» Parfois, la rage m’emportait, puis la tristesse, ou encore l’inquiétude.
Un coup de téléphone retentit. Je me rue sur lui, espérant tout au fond de moi que c’est Adam qui s’excuse, et qui fournit une excuse valable. Je cours, encore et encore, voyant devant moi défiler quatre pièces de la maison. Hors de souffle, je répond, essayant de prendre un ton de colère, pour pas que Adam croit que je suis contente et soulagée qu’il appelle.
- Hum… Allo ? Dis-je, feignant l’impatiente.
- Madame Allen ? Jje me racle la gorge, et chasse le ton destiné à Adam, pour arborer mon habituel ton agréable et accueillant.
- C’est moi.
- Je suis inspecteur de police. Je vous appelle car … Elle marque un temps, ce temps qui me suffit à imaginer tous les malheurs possible. Notre maison de vacances en France à été cambriolée ? Une amie kidnappée ? Je me souffle d’exaspération, puis plisse le front très sérieusement. Je suis inquiète. … car votre père et votre mari ont eu un accident de voiture, il y a maintenant 4 heures. Oh mon dieu, il était midi, il y a quatre heures …
- Oh mon dieu ! Ils vont bien ? Ils sont blessés ? A quel hôpital vont-ils être transféré ?
- Madame Allen … J’ai le regret de vous dire que … vos proches sont dans un état très critique.
- Putaiiiin !, je perds mon sang froid, et deviens impatiente. Soyez plus clair un peu ! Merde ! Qu’est-ce-que ça veut dire ?
- Calmez vous, madame Allen …
- Arrêtez de m’appeler madame Allen dès que vous me parlez, bon sang.
- Votre père et votre mari ne vont pas survivre.
Je sens mes jambes se dérober. Je m’éloigne de la réalité, tout devient noir … Puis plus rien.

Dans le combiné retentit des paroles inquiètes, « madame Allen, madame Allen ? Répondez ! »



RUMEURS BIS - Je le savais, je le savais ! Ahhh, j’avais vu clair dans son jeu, à la petite ! Je savais bien que ce qu’elle voulait, c’était l’argent d’Allen !
- Nan mais quelle garce ! Je suis sûre que maintenant, elle est contente. Elle reste chez elle pour faire semblant d’être perturbée et de pleurer … En réalité, elle jubile !
- Eh bah, maintenant elle a rapporté le gros lot ! Toute la fortune de son naïf de mari … Je savais que ça allait mal se terminer, pour lui. Il n’en a fait qu’à sa tête … L’amour rend aveugle, comme on le dit !
- Tellement aveugle, qu’il s’est fait prendre au piège. Un accident de voiture … Rien de plus commun. Le coup était monté, je le sais, j’en suis persuadée. Il suffisait de le tuer aussi facilement pour qu’elle récupère ces millions de dollars ! Le seul hic : son père était dans la voiture, apparemment, et il est mort lui aussi … Et ça je ne pense pas que c’ait été prévu ! A moins que, on ne sait jamais avec elle. Mais son coup a raté … A moins qu’elle veuille aussi la fortune de son père, qu’elle a remporté ! Petite, ses parents l’avaient abonnée, vous savez ? Elle a été élevée par un homme célibataire. Elle lui doit tout ! Et elle, elle le tue. Sa fortune n’a pu revenir qu’à elle, car c’était sa fille unique, et qu’il n’avait pas de femme, mais aussi à une autre personne dont on ne connaît pas l’identité. Ca cache quelque chose de louche, je vous le dis.
- Nous devrions voir ça de plus près, vous avez raison.



UN ... AUTRE ? La sonnette retentit. Je ne veux pas me lever de ce fauteuil. Je souhaite y rester jusqu’à en mourir. Ma vie ne vaut plus rien. Rien de rien. Les deux hommes de ma vie sont morts. Et moi, je n’ai plus rien à quoi me raccrocher. Toutes mes amies m’ont lâchées pour accompagner les commères dans leurs rumeurs. Ces amies, l’étaient seulement pour mon argent. Alors, je vis seule dans cette immense maison, avec des millions de dollars dont je ne sais quoi faire. J’aimerai en faire un peu profiter mes proches, mais je n’en aie plus. Alors ? Qui oserai bien frapper à la porte de la maison ? Encore une farce, allez savoir … J’ai perdu l’éclat dans mes yeux, habituellement pétillants de joie. Mon teint à la fois pale et lisse est devenu cadavrique, maladif. Je ne suis pas coiffée, pas maquillée … Je n’ai plus aucune raison de me faire belle. Me faire belle pour les gens que j’aime … Car ils ne sont plus là. Et, ma joie, mon enjouement, ma patience, tout ça a disparu. Je suis vide. Je ne ressens plus rien.
La sonnette retentit de nouvelles fois, elle persévère. Avec agacement, je me lève, et traine mes pieds au sol. J’ouvre la porte, et crie, éclatant en sanglots :
- Arrêtez, laissez moi tranq …
Mais c’est une femme, avec un regard triste, qui se tient sur le perron. Je la dévisage, très surprise, j’en arrête mes larmes, me tais. Nous restons ainsi sur le porche quelques poignées de secondes.
- Hum … désolée, entrez.
Elle entre en me remerciant sincèrement. Je lui fait signe de s’asseoir, et de ne pas tenir compte du bazar environnant. Elle m’accorde toutes ses condoléances. J’éclate à nouveau en sanglot. Des sanglots de soulagement, des sanglots de tristesse, des sanglots de reconnaissance. C’est la première fois, depuis plus d’une semaine, que l’on me dit ça. Jamais on n’avait encore fait attention à moi, comme ça, depuis la tragédie. Mais qui est cette femme ? Je ne la connais pas, mais elle parait me connaître. Elle me prend dans ses bras, ce qui me fait pleurer de plus belle. Mais tout ça me délivre de tout les poids de mon corps. J’en avais besoin.
- M … Merci, merci beau…beaucoup, dis-je, prise entre deux sanglots. Excusez moi, c’est juste la première fois que l’on s’occupe de moi depuis l’accident. Personne n’est encore venu m’accorder ses condoléances. Je reprends mes esprits, souris de réconfort, devant la mine attristée de la femme. Je vais préparer du thé.
Je reviens, nous buvons.
- Je m’appelle Lola Brown. Je viens vous expliquer à qui revenait la moitié de l’argent du testament de votre père. J’en avais complètement oublié l’existence. Je me rappelle vaguement que la totalité de l’argent du testament ne revenait pas à moi. Mais c’est la dernière de mes préoccupations. ]Voilà … Comment dire … Votre père, a, enfin, avait eu une aventure, il y a vingt-trois ans. Cette aventure était aussi celle de ma patronne, qui a m'embauchée en temps que femme de ménage. Elle l'afréquenté plus d’un an. Et puis, elle l'a quitté. Car jelle était enceinte, et ne voulais pas l’introduire dans l’affaire. Il avait été si généreux, elle n'a pas voulu lui faire de la peine, elle pensait qu’il ne voudrait pas du bébé, mais elle elle voulais le garder. Elle a disparu.
- Il … il ne m’en a jamais parlé.
- Ce ne fut que dix-sept longues années après qu'elle l'a appelé, pour lui dire qu’il avait un fils. Je me rappelais alors la période où il ne mangeait plus, où il était bouleversé. Il voulait voir son fils, elle lui a répondu qu’il ne valait mieux pas, ça l’anéantirait, car il pensait que son compagnon, qu'elle avait rencontré depuis qu'elle était enceinte, était son vrai père. Son mari l’a accepté comme son propre fils. Il ne sais actuellement toujours pas que son père ne l’est pas biologiquement. A présent, ses deux parents sont décédés Elle reprit son souffle.La moitié du l’argent du testament lui a été donné. Il est placé de son compte en banque, et Adonis n’en connait pas l’origine. Et je pense qu’il est temps qu’il sache la vérité.
- Où, où se trouve-t’il, je demande, plein d’espoir. Voilà la chose qui me fallait. Une chose à laquelle maintenant je pouvais me raccrocher. J’ai un demi-frère. Il faut que je le retrouve. On a beaucoup de choses à partager, ensemble. Voilà ce qui me donne envie de me lever du fauteuil. Je veux le retrouver.
- Il serait parti sur une ile … Appelée, très secrètement Oxymore. Pour les personnes voulant s’exiler. La chose qui me convient parfaitement. Repartir à zéro, pour une nouvelle vie. Un nouveau départ m’est offert il faut que je le saisisse.
- Vous pouvez compter sur moi, dis-je, en ayant, apparemment, un peu retrouvé ce pétillement dans mes yeux.


Revenir en haut Aller en bas
 
Nikita ♥ Demain dès l'aube, [...] je partirai.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: PUT DOWN YOUR BAGS. :: ♦ passport place :: aloha and welcome to the game-
Sauter vers: