Ainsley M. Mitchell
 Nombre de messages : 28
Age : 29
— âge du personnage : 18 ans
— crédits : Shana A.
Date d'inscription : 29/08/2009
« Situation.
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 | Sujet: AINSLEYmickaelaMITCHELL ♣♣ FINISH  Dim 30 Aoû - 17:29 | |
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© Misery Angel | ID CARD.
-------------------------------------------------------------- NOM, PRÉNOMS: Ainsley Mikaela Mitchell.
ÂGE, DATE DE NAISSANCE: 18 ans, née le 21 avril 1989.
ARRIVÉE À L'ÎLE D'OXYMORE: Depuis la naissance.
SITUATION: Célibataire.
AVATAR: Jessica Stroup 
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♥ everybody's a legend, especially you.
Une île perdue au milieu de l’océan.. Géniale comme vie hein ? Pour certains oui, pour d’autres non. Enfin, pour une autre non. La personne ne savait en rien si elle était la seule à ne pas se sentir à sa place ici. Mais peu importe, elle n’y serait plus pour longtemps. N’est-ce-pas Ainsley que tu n’y seras plus pour longtemps ? La jeune femme se répétait sans cesse cette confirmation dans sa tête. Mais pourquoi son arrière arrière arrière grand mère avait-elle eut l’idée de partir des Etats Unis pour venir dans ce trou perdu ? Trou perdu, qui devait à la base resté bien secret ? Sûrement parce qu’elle était enceinte.. Bah ! Ainsley savait bien qu’elle n’y pouvait rien. Et puis de toute façon, elle pourrait partir quand elle le voulait, elle le savait aussi ça. Ne pas avoir d’amis était une chose, ne pas vouloir s’attacher pour son propre bien en était une autre.
Et pourquoi les murs de ce lycée étaient-ils recouverts de casiers dont d’ailleurs, personnes ne se servaient ? N’était-ce pas un peu de l’argent jeté par les fenêtres ? Oh et puis de toute façon, tout le monde en a trop sur cette île. Cinq mille dollars de casiers, ou cinq mille euros de plus, ce n’était rien pour eux. N’empêche, comment est-il possible de longer les murs avec ce tas de ferraille franchement ? C’était bien ce que se demandait Ainsley. Les couloirs étaient pleins, comme d’habitude, et il était difficile de ne pas se bousculer dans ce capharnaüm sans nom.
Le grognement familier de Ainsley se fit entendre dans le couloir, mais tout de même trop bas pour que quiconque ne l’entende. Un sac à dos sur l’épaule, la jeune femme essayait tant bien que mal de sortir au plus vite de cet endroit qu’elle haïssait. Mais pourquoi tout le monde était-il dans ce couloir ? N’avait-il pas cour à cette heure ? Il fallait croire que non. Alors, la jeune femme soupire d’exaspération. Mais alors..
- Ainsley ? Ainsley Mitchell ?
Qui avait prononcé son nom ? La jeune femme s’était aussitôt immobilisé à la voix inconnue qu’elle avait entendu. D’ordinaire, personne ne l’appelait, personne ne s’intéressait à elle de près, et heureusement d’ailleurs. Après tout, c’était à ça qu’elle travaillait nuit et jour. Néanmoins, curieuse de savoir qui était l’abrutit, le fou ou le dragueur incontesté, qui avait osé l’appeler. Alors, elle se retourna et le jaugea du regard, de haut en bas, essayant de chercher dans sa mémoire si elle ne l’avait pas aperçu avant. Puis, après l’examen rapide, Ainsley répondit d’un ouais sans conviction. Devant elle, le jeune homme avait l’ait un peu gêné, mais pour une fois, la jeune femme se refusa de lui faire remarqué.
- Oui alors hmm.. Je suis nouveau, et le principal m’a dit de venir vous.. enfin, te voir pour que tu me fasses visiter le lycée.
Ainsley n’en crut pas ses oreilles au moment où il prononça sa requête. Le principal avait quoi ? Elle devait avoir mal entendu, c’était impossible que ce bougre ait pu conseiller à ce jeune innocent de venir la voir elle plutôt qu’une autre. Mais que cherchait-il à faire à la fin ? Ses questions restèrent néanmoins en suspend dans son esprit. De quelques pas assurés, elle se rapprocha du jeune homme.
- Tu veux vraiment le connaître ce lycée ? Non, je sais que tu ne veux pas. Je suis persuadée que tu le hais déjà. Tu aurais bien raison d’ailleurs. Je vais t’expliquer quelque chose John.. Tu ne t’appelles pas John ? Tant pis, JE décide de t’appeler John. Alors je vais t’expliquer quelque chose John. Si tu penses que tu viens d’atterrir au paradis ici, tu te trompes complètement. Tout le monde, ou presque, est peut être beau et riche, mais ce n’est néanmoins pas le paradis. Je te le dis John, bienvenue en enfer.
Son ton était cinglant, et ses gestes amples alors qu’Ainsley parlait. Consciemment ou non, elle avait du effrayer ce John, comme elle l’avait rebaptisé. Néanmoins, la jeune femme n’avait pas prit le temps de s’assurer qu’il était toujours bien vivant après sa tirade, et était partie sur le champs. Heureusement pour elle, les couloirs s’étaient vidés.
·······
- Oh ma chérie, montre-moi ça ? Oh mais c’est magnifique !
Ainsley aperçu le sourire radieux, qu’elle aimait tant, de son père devant ce dessin insignifiant. La fillette avait passé une bonne partie de la journée à dessiner ce portrait de quelqu’un qui, à première vu, était imaginaire. Et si pour son père, qui devait la félécitée de son dessin seulement parce que c’est le rôle d’un père, ce n’était qu’un simple portrait fait par une fillette de huit ans, pour Ainsley c’était beaucoup plus. Déjà parce qu’elle avait résistée à l’envie de jouer toute la journée, mais aussi parce qu’elle en étit réellement fière de ce dessin fait de ses propres mains.
Il fallait avouer qu’elle pouvait vraiment petre douée pour ça. Depuis qu’elle savait comment fonctionnait un crayon, Ainsley passait le plus clair de son temps a dessiné. Bon c’est sur, au début elle fesait des gribouillages, comme tous les gosses de son âge. Mais le jeune fille croyait en elle-même et donnait toute son énergie pour ne dessiner que quelque chose de très simple; une fleur, un nuage. Ainsley était aussi, depuis son plus jeune âge, très perfectionniste. D’ailleurs, on ne peut pas vraiment la remerciée pour l’environnement si on comptait le nombre de feuilles qu’elle avait du jeter parce que ça ne lui convenait pas.
Et en grandissant, Ainsley n’a fait qu’améliorer sa technique déjà très bonne. Mais le dessin n’était pas la seule chose qu’elle aimait. La jeune femme adorait aussi lire, et aime toujours ça d‘ailleurs. Loin d’être aussi douée que ses parents pour la comédie, Ainsley préfèrait de loin se plonger dans une pièce de théâtre, toute seule dans sa chambre, plutôt que sur les plaches. Aussi, ses parents la décrivent souvent en quelques mots..
- Ainsley, notre fille ? De Shakespeare à Picasso.
·······
Le visage appuyé contre la paume de sa main, Ainsley avait les yeux rivés sur une feuille de papier. Le croquis qu’elle dessinait n’avait rien d’exceptionnel, mais en ce cours d’orientation, elle n’avait rien de mieux à faire. Le temps passait trop lentement à son goût, et elle ne savait que faire en attendant. C’est vrai, Ainsley n’avait jamais été très patiente. Et puis entendre les autres petits fils de riches qui avaient grandis avec elle, dire qu’ils seront bientôt la nouvelle star de l’année, c’était insupportable. Oh non, ce n’était pas le fait qu’ils soient riches qui l’énervaient, elle l’était aussi après tout, c’ était le fait qu’ils se croient au dessus de toute le monde.
Une piqure dans son dos sortit Ainsley de ses pensées. Se retournant vivement, elle aperçu John qui la regarda, un demi sourire sur les lèvres. Quel idiot ! C’était forcément lui qui lui avait lancé l’avion en papier qui se trouvait à ses pieds. Exaspérée, elle le ramassa et se retourna pour le lire. Si tu ne t’arrêtes pas de dessiner Ash’, tu n’auras plus de place dans ta chambre. Ash.. Elle avait presque oubliée qu’il l’appelait comme ça depuis le jour où elle l’appelait John. Ainsley se retourna et lui lança un regard qui se voulu noir. Lui et son ironie à deux sous.. Ca l’exaspérait !
- Et vous Ainsley, une idée précise ?
Décidément, on prononçait de plus en plus son nom en ce moment ! Sauf que cette fois, ce n’était pas quelconque personne. C’était sa prof d’orientation. La cause de son ennuie mortel pendant les deux heures de 13 à 15h le lundi après midi. Ainsley avait déjà relevée la tête, et regardait le professeur, autant que cette dernière la regardait. Doucement, elle fit glisser sa chaise vers l’arrière, et se mit debout. Wow, quel choc ! Ca faisait tellement longtemps qu’elle ne s’était pas levée quand on l’interrogeait qu’elle avait presque oubliée ça. Essayant de dissimuler tout gêne, elle prit la parole d‘un ton qui se voulait assuré.
- Eh bien.. Oui, je crois que je pourrais avoir une idée précise de ce qui, je l’espère, m’attendra. J’aimerais être designer..
- Designer ? Ici ? A Oxymore ? C‘est une perte de temps, la femme lui avait coupée la parole.
- Si vous me laissiez terminer, Mlle Malesherbes, peut être sauriez vous la suite. Donc comme je le disais, j’aimerais être designer à New York. Vous savez, la grande pomme. Evidemment, même si vous n’avez entendu que son nom, cette ville est celle de toutes les portes. D’accord, vous me direz sûrement que Londres serait plus adéquat comme un métier comme le mien, mais non. New York, c’est mon rêve le plus cher, mon rêve le plus fou. Et que personne, même pas vous, ne réalisez. Vous vous rendez compte; marcher sur Broadway, tenir ma boutique sur Times Squares, faire du shopping sur la 5e avenue.. Tout ça je le ferais ! Je décorerais les même appartements que vous voyez dans Gossip Girl, me rendrait à la Fashion Week dont j’aurais moi-même dessiner le podium..
Ainsley avait fait quelques pas et se trouvait donc devant la classe, juste à côté du bureau et de l’entrée. Les élèves devant elles se retenaient de rire aux éclats. Mais on ne pouvait pas leur en vouloir.. Ainsley a toujours été extrêmement rêveuse. Et pourtant ça, elle le savait. Elle réussirait à aller à New York et réaliserait son rêve. Instantanément, la jeune femme leur lança un regard noir et se dépêcha de prendre son sac et de s’enfuir par la porte. Alors que le professeur essayait de la retenir, elle cria depuis le couloir.
- Le cour est finit de toute façon. Je rentre chez moi !
·······
Cela faisait exactement trois années ce jour là. Trois malheureuses années qu’il était parti. Pourquoi ? Pourquoi lui avait-on enlevé ce qu’elle avait de plus précieux ? Ainsley ne comprenait pas.. Elle avait beau être riche, elle n’était pas comme toutes ces garces à acheter tout et n’importe quoi. Elle n’avait rien fait de mal. Et pourtant, on dirait qu’on avait décidé de la punir en le lui retirant. Sa source d’inspiration. Son cœur. Ses sentiments. Tout était parti avec cet homme qu’elle n’avait pas assez connu à son gout. Comment peut-on encore souffrir comme cela ? Alors que les autres passent devant vous, vous dévisageant comme une bête curieuse, vous pleurez. Oui oui, vous pleurez.
Parce que c’était ce qu’Ainsley faisait à ce moment là. Un bouquet de roses rouges contre la poitrine, elle pleurait l’absence d’un être qui lui était chère. Son grand-père. Il parait qu’elle tenait cette passion pour le dessin et l’art en général de lui. Malheureusement, Ainsley n’avait jamais vu de dessins de lui avant qu’il décède. La jeune femme, accroupie devant la tombe, caressait doucement la pierre gravée, puis y posa le bouquet de fleurs. Ses préférées, pensa t-elle. Elle espérait qu’il sentirait sa présence et celle des roses. Les larmes dégoulinaient en torrent sur ses joues pâles alors.
L’orage menaçait depuis un bon moment lorsque les premiers coups de tonnerre se firent entendre. La pluie n’était pas encore là mais ne tarderait plus. Alors, les mains dans les poches, Ainsley sortit de cet endroit qu’elle ne visitait que pour poser des fleurs sur la tombe. Et puis, inconsciemment, elle se mit à courir. Pour qui la voyait faire, on aurait dit une flèche. Ainsley était rapide comme une gazelle, agile comme un guépard. C’était en outre une excellente sportive. Alors elle continuait de courir, sans s’essouffler. Les larmes continuaient de couler, et elle en voulut à la Terre entière de lui avoir retiré celui qu’elle aimait pour tout ce qu’il lui avait apporté.
Arrivant chez elle, Ainsley avait déjà gravit les marches quatre à quatre, et ne fut pas surprise de trouver quelqu’un dans le grenier quand elle y entra. Et elle pleurait, elle pleurait. La personne était évidemment John. Qui d’autre que lui aurait pu s’inquiéter et savait ? John s’approcha de lui et ouvrit les bras. Ainsley s’approcha à son tour et s’enfouit dans ses bras. Et elle continuait de pleurer. Elle pleurait pour son grand père, elle pleurait pour tous ceux qui ne le méritaient pas, elle pleurait pour John, elle pleurait pour ses parents, elle pleurait pour la Terre entière, et elle pleurait aussi un peu pour elle. Ca faisait tellement du bien de pleurer. Ca faisait si longtemps qu’elle retenait ses larmes. Pourquoi continuer alors qu’on pouvait enfin ne plus se cacher ? Laisser tomber le masque était toujours difficile. Mais pour lui, oui, pour lui elle le ferait. Elle ferait tout pour lui. Si elle avait pu elle lui aurait donné sa vie. Alors Ainsley restait dans les bras de John en pleurant, des heures et des heures durant. A un moment, ce dernier souffla en la serrant contre lui, un minuscule sourire aux lèvres.
- Eh bien, on dirait bien que Mlle Ash a un cœur en fin de compte.
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♣ keyboard is your friend. • PRÉNOM - PSEUDO; Leah / L-Watermel0n* - Shamallow *
• ÂGE; 15 ans moins 7 mois.
• OÙ AS-TU DÉNICHÉ L'ADRESSE D'OXY?; Bazzart la première fois, et une amie me l’a repassé ^^
• TON AVIS SUR LE FORUM; Je trouve le forum très travaillé et j’aime vraiment bien le contexte.
• CODE DU RÈGLEMENT; valide - by nikki
• UN DERNIER MOT? À MOINS QUE TU AIES LA FLEMME.; Moi la flemme ? Jamais... =P
Dernière édition par Ainsley M. Mitchell le Lun 31 Aoû - 20:07, édité 6 fois | |
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Louie Pendergast
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Age : 29
— âge du personnage : twenty y.o
— crédits : ava: anorange_sky - gif: crocodile
— jukebox : blackeyespeas - i gotta feeling
Date d'inscription : 07/07/2009
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