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 « On est pas sorti de l’auberge » ; SIDNEY

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Ainsley M. Mitchell

Ainsley M. Mitchell


Féminin Nombre de messages : 28
Age : 29
— âge du personnage : 18 ans
— crédits : Shana A.
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MessageSujet: « On est pas sorti de l’auberge » ; SIDNEY   « On est pas sorti de l’auberge » ; SIDNEY Icon_minitimeMar 1 Sep - 12:26

    Enfin la majorité ! Quel bonheur ! On peut enfin quitter le domicile familial, acheter de l’alcool si on en a envie, aller en boîte sans problème, et on ne nous prend plus pour un gamin. Naturellement, on peut faire tout ça si on le désire. Et, heureusement ou malheureusement pour elle, Ainsley n’était pas vraiment ce genre de fille là. De sa majorité, elle retenait juste qu’elle quittait ses parents parfois légèrement oppressants pour un appartement sur Kapalua Bay. Quand elle était aller visiter, la jeune femme avait été frappée par la vue magnifique sur les falaises. Pensant qu’elle pourrait dessiner tranquillement ici, elle s’était tout de suite décidée pour vivre ici. Mais voilà, il y avait une ombre au tableau. A vrai dire, elle-même ne savait pas trop si c’était une ombre ou pas. Mais ça ne la réjouissait pas tant que ça, c’était certain. Un colocataire. Ainsley allait devoir partager sa maison avec un étranger, rien de plus rien de moins. C’était ça surtout qu’elle retenait. Cependant, elle espérait surtout qu’il ne serait pas là quand elle arriverait. La jeune femme n’était pas d’humeur à se confronter immédiatement à la réalité.

    La bâtiment était haut et bordait les falaises. Il était impressionnant, et imposant par son style vieux mais dur à la fois. Joyeux et peinant. Amoureux et haineux. Faible et fort. Il était un peu tout ça à la fois ce bâtiment. Les vitres légèrement teintées du taxi qu’elle avait emprunté lui donnait une couleur bleutée, qui allait vraiment bien avec le paysage. Mais ce qu’elle préférait dans tout cela, c’était son allure modeste. Ainsley n’aimait pas être entouré de gosses de riches pourris gâtés. Même si elle venait d’une famille assez riche, la jeune femme remerciait le ciel de ne jamais avoir été comme la plupart des pimbèches qui habitaient l’île, avec leur gigantesque villa et leur foulard Yves Saint Laurent. Ainsley n’aimait pas montré qu’elle était au dessus de quiconque. Une caractéristique qui la différenciait de beaucoup de jeunes de son âge. A moins que ce ne soit qu’un masque qu’ils portaient ?

    Ainsley ouvrit la portière et continua d’observer le bâtiment alors que le chauffeur du taxi s’affairait à lui amener ses valises. Elle en avait deux, plus un grand fourre-tout qu’elle gardait sur son épaule, en bandoulière. Ainsley n’avait pas spécialement beaucoup de vêtements, et se dit qu’elle n’avait pas besoin de plus. Sachant que ses affaires de dessins occupaient une bonne partie d’une des deux valises, on ne pouvait pas vraiment dire qu’elle avait prit énormément d’affaire. Elle espérait juste qu’elle ait assez de place pour ranger correctement ce qui lui tenait à cœur. Mais alors que la jeune femme continuait de penser silencieusement, le chauffeur lui apporta ses affaires. Après lui avoir décoché un petit sourire et de le payer, elle le remercia.

    « Merci »

    L’aventure pouvait commencer. Empoignant fermement ses valises dans chacune de ses mains, Ainsley se dirigea vers la porte qu’elle poussa avant d’entrer dans un hall sans prétention. Mais alors qu’elle se rendait compte qu’il n’y avait pas d’ascenceur, elle poussa un grognement presque inaudible et lâcha ses valises un bref instant. La jeune femme farfouilla dans ses poches à la recherche d’un papier qui lui indiquerait à quel étage elle se trouvait. Ainsley lut le papier de haut en bas, de gauche à droite, et en retint qu’une seule chose; elle se trouvait en haut.

    Un autre grognement se fit entendre dans le hall plutôt calme, et après mûre réflexion, Ainsley décida qu’elle viendrait chercher sa seconde valise après avoir monté l’autre. Elle espérait seulement que personne ne viendrait lui prendre. Ce serait embêtant. Néanmoins, la jeune femme s’occupa de la valise avec son matériel à dessin en premier, par crainte que l’on lui prenne. Alors, empoignant fermement la poignée, Ainsley commença à monter les escaliers à vitesse moyenne.

    Dansc cette maison où tout lui était inconnu, c'était difficile de se repérer, et elle mit au moins 5 bonnes minutes à trouver les escaliers. Alors qu’elle se trouvait vers le milieu de l'escalier, un oiseau à la fenêtre la surprit et elle lâcha sa valise. Cette dernière s’ouvrit dans un grand fracas dans les escaliers. Se dépèchant de s’agenouiller pour la ranger, elle grogna et jura.

    « Et mince »
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Sidney N. St John

Sidney N. St John


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MessageSujet: Re: « On est pas sorti de l’auberge » ; SIDNEY   « On est pas sorti de l’auberge » ; SIDNEY Icon_minitimeMer 2 Sep - 17:31

J'avais parfois besoin de beaucoup de sommeil et il s'était passé tellement de choses ses derniers jours que j'en avais d'autant plus besoin. Alors, je faisais pour une fois dans ma vie une grasse matinée, je ne me réveillais pas à mes 8-9 heures habituelles mais beaucoup plus tard. Pour cela j'avais utilisé plusieurs techniques, la première était de ne pas aller dormir tôt ce qui marchait souvent mais pas comme je le voulais en effet, en allant dormir tôt on ne dormait pas plus mais plus tard donc ce n'était pas la bonne technique. La deuxième était de prendre un somnifère mais je n'étais pas le genre de personne à me droguer pour dormir beaucoup. La troisième était de ne pas dormir pendant une nuit et donc que le lendemain, et bien je dormirais pendant très longtemps. Bon ce n'était peut-être pas la meilleure des techniques mais c'était la seule que j'avais trouvée. J'avais donc passée une très courte nuit avant hier pour dormir longtemps ce soir. Et ce qu'il y a de bien, c'est que la technique à marcher vu que je ne l'ai même pas entendu arriver. J'étais totalement dans les bras de Morphée lorsque ma future colocataire à fait les premiers pas dans ma maison. J'étais même en train de rêver que j'étais une star du rock qui se déhanchait sur les planches du monde entier lorsque j'entendis un bruit sourd qui me réveilla en sursaut. J'étais tellement intelligent qu'en me réveillant, j'attrapais mon réveil qui tombait en éclat a terre. Il y avait des jours où j'étais loin d'être doué et aujourd'hui semblait donc être l'un de ses jours. Ma technique avait bien marché car il était plus de 10 heures.

Reprenant peut à peu mes esprits encore endormit, je me souvins du bruit qui m'avait réveillé et une chose est sûre c'est que je n'avais pas fait ce bruit tout seul. La première solution qui me venait à l'esprit c'était un cambrioleur et vu que je ne voulais pas faire venir la police pour rien. Et oui, cela coûtait de l'argent de faire venir la police puis cela ameuterait tout le quartier qui penserait que je cache des choses illicites dans ma demeure et que c'est pour celle raison que la police est venue y faire un tour chose qui est totalement fausse bien entendu. Je sortis de mon lit tout doucement, pour ne pas alerter le cambrioleur, munit d'une batte de base-ball, je parcourais la maison pièce par pièce essayant de surprendre la personne qui pensait me voler. Pour l'instant, je n'avais trouvé personne, il devait donc se trouver en bas. Chaque minute passant était une minute de plus de stress de savoir qui est-ce qu'il était ou ce qu'il voulait chez moi. Je n'étais pas pauvre mais je ne possédais pas vraiment de richesses ici tout était à la banque. C'est alors que je le vis dans les escaliers essayant de ramasser quelque chose, peut-être un fusil, si c'était cela j'étais malheureusement déjà mort alors je restais là. Tout doucement je m'approchais et je me mis à crier.


« Ne bouge pas, je possède une batte de Basse-Ball, je sais m'en servir. Vous allez sortir de ma maison sale voleur et ne plus jamais y revenir. »

promis je me rattrape au prochain
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Ainsley M. Mitchell

Ainsley M. Mitchell


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MessageSujet: Re: « On est pas sorti de l’auberge » ; SIDNEY   « On est pas sorti de l’auberge » ; SIDNEY Icon_minitimeJeu 3 Sep - 13:33

    Marmonnant des choses incompréhensibles, Ainsley ramassait ses affaires, à genoux à côté de sa valise. Cette dernière avait peur que quelque chose ne se soit cassé, mais heureusement pour elle, non. Tout avait beau s’être éparpillé sur deux ou trois marches, rien n’avaient été abîmés. Ainsley poussa un soupir de soulagement voyant qu’il n’y avait aucun dommage. La jeune femme tenait précieusement à ses affaires de dessins. C’était bien la seule chose où personne ne la dérangeait. Elle pouvait rester des heures et des heures sur un même travail pour réussir à quelque chose approchant de la perfection. C’est comme lorsque l’on veut faire un soufflé. Quand on le sort du four et qu’on voit qu’il n’a pas gonflé, on ne peut pas s’empêcher de vouloir le recommencer jusqu’à temps qu’il gonfle. Et bien là c’était pareil, Ainsley ne pouvait pas s’empêcher de recommencer chaque trait qi elle n’en était pas satisfaite. Et comme c’était aussi une éternelle insatisfaite, ça pouvait prendre énormément de temps. Cependant, l’amour du dessin la poussait toujours plus loin, pour se surpasser. Un crayon à la main, Ainsley ne comptait jamais le temps pendant lequel elle pouvait rester. C’était comme marcher. C’en était devenu une chose naturelle.

    Un bruit de pas se fit entendre alors qu’elle continuait à ranger soigneusement ses affaires dans ce qui lui servait de valises. Quelques vêtements s’étaient aussi éparpillés. Pensant simplement que ça devait être son colocataire, Ainsley ne s’inquiéta pas si par hasard, il la trouvait à genoux au beau milieu des escaliers. N’avait-il donc jamais fait tomber quelque chose lui ? Donc, tranquillement, elle continua. Dans sa mémoire, Ainsley essayait de se souvenir du nom de ce dit colocataire. Comment s’appelait-il déjà ? La seule chose qu’elle se souvenait c’est que ça ressemblait à un nom de ville. London ? Landon ? Romain ? Farfouillant dans sa mémoire, les sourcils froncés, elle se détestait d’avoir aussi mauvaise mémoire.

    Le bruit de pas continuait à se faire entendre, et paru se rapprocher de la jeune femme. Peut être que ce mystérieux jeune homme se souvenait que sa colocataire devait arrivée dans la matinée. Même si elle en doutait, Ainsley ne put s’empêcher de se lever et de lisser quelque peu ses vêtements. Peinant encore pour refermer sa valiser, la jeune femme n’entendit plus les pas.

    « Ne bouge pas, je possède une batte de Base-Ball, je sais m'en servir. Vous allez sortir de ma maison sale voleur et ne plus jamais y revenir. »

    Ainsley leva immédiatement la tête. Il y avait un voleur dans la maison ? Elle se leva d’un bond, et soupira, exaspérée, quand elle comprit que c’était elle que l’on traitait de voleur. Gardant son sang froid, elle ne répondit pas tout de suite. Après maintes tentatives, Ainsley réussit enfin à fermer sa valise et l’empoigna bien fermement pour continuer à monter les escaliers jusqu’à l’étage. Juste devant les escaliers, elle trouva un jeune homme, sans batte de base-ball, apeuré par le bruit qu’elle avait pu faire.

    « Si c’est moi le voleur en question, je vous mets au courant qu’à part avec mon matériel à dessin auquel je tiens comme à la prunelle de mes yeux, je ne pourrais pas vous faire de mal. Et en plus, je ne suis pas une voleuse. Je vais loger ici. Une colocataire, ça vous dit quelque chose ? »

    Ainsley leva les yeux au ciel et gravit la dernière marche pour poser sa valise contre le mur. C’était donc lui son colocataire ? L’observant toujours, elle essayait de se souvenir de son nom, en vain.

    Je crois qu’on est quittes ^^” Désolée de ce que je te sers.
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MessageSujet: Re: « On est pas sorti de l’auberge » ; SIDNEY   « On est pas sorti de l’auberge » ; SIDNEY Icon_minitime

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